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Date de création : 29.11.2015
Dernière mise à jour :
07.03.2021
51 articles
Ouest-FrancePublié le 25/11/2019 à 06h10
Saffré. Les éoliennes leur causent destroubles de santé
Si depuis six ans, près du parc éolien des Quatre-Seigneurs, les bêtes des exploitations souffrent de différentes pathologies, c’est également le cas d’une partie des riverains.
Le docteur Dominique Tripodi, chef du service de Pathologiesprofessionnelles et environnementales au CHU de Nantes, a confirmé qu’il ne s’agit pas d’un effet nocebo. Les troubles sont réels et en rapport avec l’environnement.
Une trentaine d’entre eux s’exprime ouvertement, mais ils sont plus
nombreux à en parler, loin du public. Les riverains du parc éolien
des Quatre-Seigneurs qui compte huit éoliennes réparties entre les
communes de Nozay, Puceul, Saffré et Abbaretz, ont vu leur santé
se détériorer de manière spectaculaire depuis l’arrivée et la mise
en activité du parc
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Les anti éoliens interviennent au salon des maires
Des membres du CA et des représentants d’associations de la FED avec pancartes, slogans et sifflets ont exprimé leur colère au salon des maires qui s'est tenu à la porte de Versailles.
Ils sont intervenus lors de la conférence de marketing des promoteurs éoliens venus faire promotion de leurs machines qui détruisent la France.
Ils ont révélé « la face noire de l’éolien industriel » et encouragé les maires à résister aux de vendeurs de vent qui écument toutes les communes de France.
Vous pouvez voir un extrait de 3 minutes des vidéos qui ont été tournées
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Xavier Bertrand redit «stop aux éoliennes»
à l’occasion de la visite d’Emmanuel Macron
à Nesle
Le président de la Région, Xavier Bertrand, a remis une pétition à Elisabeth Borne, ministre de la transition écologique. Ce, une petite heure avant l’arrivée d’Emmanuel Macron dans l’est de la Somme, à Nesle.
Venus à Nesle, à la fois en tant que tant que président du directoire de la société de projet du canal Seine-Nord Europe et en tant président de la Région Hauts de-France, pour y signer la convention de financement du canal, Xavier Bertrand a remis à Élisabeth Borne, ministre de la transition écologique, une pétition signée par des opposants au développement des éoliennes. «Nous avons eu 150 réactions, rien que ce matin (vendredi 22 novembre, ndlr), de personnes qui ont entendu Mme Borne dire qu’il reste de la place pour des éoliennes», explique le président de Région.
On le sait,le président des Hauts-de-France est parti dans
une croisade contre l’énergie éoliennedans la région,
estimant qu’on arrive aujourd’hui à saturation.
«Nous sommes disposés ici à remplacer les kilowatts
éoliens prévus par des kilowatts produits avec du
solaire ou de la biomasse, a indiqué Xavier Bertrand à
Élisabeth Borne.Il ne s’agit pas de vagues promesses puisque nous
sommes disposés à délibérer sur le sujet dans le cadre du SRADDET
(Schéma régional d’aménagement et de développement durable du
territoire) ce qui donnera à ces décisions un caractère
contraignant…»
Roman, Times, serif;">Aide à l’investissement dans le solaire et le biogaz…
«Trop c’est trop, nous en sommes à plus de 1000 mats,
c’est autant que partout ailleurs, et les projets
continuent à arriver, a rappelé Xavier Bertrand.Cette nouvelle
donne en matière d’énergie solaire ou de biogaz permettra
d’économiser des terres agricoles et surtout, elle nous évitera d’avoir
à gérer des situations qui se tendent sur le terrain. Il ne faudrait pas
qu’on en arrive un jour à des affrontements entre promoteurs et
riverains…»
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Nos bovins contre l'éolien et ses dérivés
Des plaintes déposées, contre l'éolien
et ses cablesde 20 000 volts
Des vaches perturbées par les lignes électriques des champs d'éoliennes. Certaines en meurent dans l'Ouest de la France. Deux avocats portent plainte et Radio France a enquêté.[Deux avocats disposent de nouveaux éléments qui tendent à incriminer les lignes électriques dans la mort de plus de 300 vaches en Loire-Atlantique]
Deux avocats disposent de nouveaux éléments qui tendent à incriminer les lignes électriques dans la mort de plus de 300 vaches en Loire-Atlantique• Crédits : LOIC VENANCE - AFPDu nouveau dans l'affaire des morts mystérieuses de bovins en Loire Atlantique, où plus de 300 vaches sont mortes à proximité d'un parc d'éoliennes en sept ans. Deux avocats vont porter plainte, selon nos informations. Ils disposent de nouveaux éléments qui tendent à incriminer les lignes électriques.
Si aucune étude n'a jamais établi scientifiquement un lien entre la mort des vaches et la proximité d’équipements électriques, plusieurs agriculteurs ont réussi à démontrer que lorsque le courant a été coupé, leurs vaches se portaient mieux et leur production de lait augmentaient. C'est le cas d'Alain Crouillebois, éleveurs de vaches dans l'Orne, dont le troupeau était malade. Après avoir fait déplacer à ses frais une ligne souterraine de 20 000 volts placée à 20 mètres de ses bâtiments, sa production a augmenté. Même chose pour Didier Potiron, éleveur à Nozay près de Nantes. Il a perdu plus de 300 vaches en sept ans depuis l'installation d'un parc éolien en 2012. Quand les éoliennes ont été en panne pendant quatre jours en mars 2017, sa production, là encore, a augmenté. Les données de son robot de traite en attestent, elles ont fait l'objet d'un étude.
L'avocat de Didier Potiron va porter plainte contre X.
Un autre avocat, maître Lafforgue, va aussi porter plainte pour une douzaine d'autres éleveurs.
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Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable
http://environnementdurable.net
contact@environnementdurable.net
tel 06 80 99 38 08
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Jean Louis Doucy sur la 5 de bons arguments contre l'éolien
Pour « sauver la planète », l’industrie tue les campagnes
Durée de lecture : 9 minutes
30 octobre 2019 / Blandine Vue
https://reporterre.net/Pour-sauver-la-planete-l-industrie-tue-les-campagnes
Blandine Vue est docteur ès lettres, diplômée en sciences du langage, lauréate de la Fondation Nicolas Hulot pour ses activités pédagogiques de terrain. Elle a publié plusieurs ouvrages, dont Histoire des paysages (éd. Errance) et un roman, La Colonie (éditions L’Harmattan).
Au nom de la transition énergétique, les campagnes s’industrialisent à grande vitesse. L’autrice de cette tribune raconte la métamorphose de la Haute-Marne, autrefois vivante et dorénavant colonisée par les éoliennes, les méthaniseurs, les plantations de biomasse
Il est minuit, ma maison vrombit, mon cœur est écrasé, mon crâne résonne. Les fenêtres fermées, les boules Quies ne font qu’empirer les choses. Où aller ? Au fond des bois ? Les infrasons des éoliennes industrielles ne connaissent pas les frontières. Elles sont partout. Mon corps est à bout.
Seules deux vallées ne sont pas encore attaquées à proximité de chez moi. Les mâts des éoliennes et les méthaniseurs poussent aussi vite que tombent les forêts ! Il n’y a plus de refuge. La campagne s’industrialise.
J’ai passé le week-end chez moi, face aux collines, dans mon village de 70 habitants, la maison dans laquelle mes enfants ont grandi, qu’on a restaurée ensemble. J’avais beaucoup à faire, je n’ai rien fait ou presque, je n’ai pas eu besoin de regarder la météo pour savoir d’où venait le vent. Mon corps n’avait qu’une tension, fuir ce lieu inondé par un poison vibratoire. Du sud au nord, en passant par l’ouest, plus de 70 éoliennes industrielles de 150 mètres. À l’Est, six, 183 m de haut, diamètre 150 m, bientôt 29. Partout, des centaines en projet ou prêtes à sortir de terre. Du haut de la colline, j’ai dit adieu aux couchers de soleil il y a neuf ans, et récemment aux levers. Adieu à la nuit pure. Les promenades sur le plateau rendent fou.
Les bois qui n’ont pas encore été rasés sont dépouillés depuis qu’on ne parle plus de forêts, mais de biomasse
À 200 m de la maison, deux fermes, « normales » il y a peu, incarcèrent désormais douze mois sur douze quelques centaines de vaches sous les tôles. Ventilateurs, tanks à lait, robots de traite, engins qui désilent, mélangent, transportent, paillent, distribuent, curent, et retransportent. Les bruits de moteur sont incessants. Vaches à méthane ou vaches à lait, toutes ont le même sort, les riverains aussi !
Marie, une riveraine, est à bout, sur sa petite route de campagne. Sept jours sur sept, les tracteurs passent pour alimenter le méthaniseur voisin en fumier collecté dans un rayon de 60 km, les prés ont été retournés pour planter le maïs qui servira à nourrir le méthaniseur et les vaches prisonnières qui fournissent la manne. La paille aussi voyage. Sous la canicule, les vaches enfermées hurlent, tapent nuit et jour dans la ferraille qui les enferme, l’ensilage pue.
Où aller ? Au fond des bois ? Quels bois ? Ceux qui n’ont pas encore été rasés sont dépouillés depuis qu’on ne parle plus de forêts, mais de biomasse. De mes fenêtres, je vois clair au travers des collines. Plus de sous-bois, des champs de troncs. Le long des chemins, les arbres trop jeunes, condamnés à ne pas devenir des chênes centenaires, s’alignent, en attendant d’être déchiquetés avec beaucoup d’énergie, recollés en pellets, voire transformés en carburant ! Il y a quelque temps, un bûcheron s’inquiétait : « Dans dix ans, il n’y aura plus rien ! » Sur les photos aériennes, une bande boisée au bord des routes, pour tromper le peuple, mais c’est une coquille vide. Dix ans, c’était optimiste. Qui ose encore signer les pétitions contre la déforestation de la forêt amazonienne ? Le poumon vert de la France, ça ne compte pas ?
Officiellement, on n’a plus le droit de retourner les prairies [pas pour leur flore et leur faune, on s’en moque, mais comme pièges à carbone, fixateurs de sol…] Jamais on n’en a retourné autant que depuis les débuts de la « transition énergétique » ! Pour le maïs des méthaniseurs, le colza des carburants… Qui ose encore signer les pétitions contre l’huile de palme ?
« C’est une violence inouïe ! » m’a dit ce citadin reconverti à l’agriculture bio. Pour moi, c’est un viol. Un viol de ce pays qui m’a vue grandir, que mes ancêtres paysans ont soigné, que j’ai parcouru jusque dans ses moindres recoins… Un viol de mon droit au silence, ce bien le plus précieux. Depuis bientôt dix ans, hormis quelques nuits glaciales sans vent, pas une heure sans bourdonnement de moteur ou d’éolienne, dans ma maison dont les murs tremblent de cette maladie galopante.
Je bondis en lisant une phrase de l’association NégaWatt : « Nous avons également de vastes zones peu peuplées qui permettent l’installation [d’éoliennes]. » Ben voyons ! Nos élus comptent aussi remplir ainsi la « diagonale du vide ». Mais le vide n’est pas vide, nous y vivons, la nature y vit. Nous ne sommes pas un territoire à coloniser ! Pour eux, nous sommes une poignée de sauvages qui empêchent l’expansion de projets, qu’ils n’osent plus appeler « progrès », mais ont rebaptisé « transition énergétique », et font passer pour une « reconversion écologique ». Nous préférions être abandonnés : au moins, on nous laissait tranquilles !
On n’a pas le droit d’avouer que quelque chose cloche dans ce qui est présenté comme la seule issue
L’écologie, c’est ce que nous avions, avant. Du silence, de vraies nuits, des forêts gérées avec sagesse en mode cueillette, avec respect pour leurs bêtes, grandes et petites. Celles qui ne peuvent pas fuir crèvent désormais au soleil de vastes étendues rasées, les autres ne savent plus où aller. L’écologie, ce n’est pas ce monde industriel qui se cache derrière des noms aguicheurs.
Ce monde, on nous l’impose sans démocratie, avec le plus profond déni de notre citoyenneté, des enquêtes publiques, qui sont des mascarades, les rares refus préfectoraux étant cassés par les tribunaux administratifs. Les enquêtes surviennent sans annonce claire, il faut surveiller les sites préfectoraux, qui ont changé de page sans l’annoncer clairement, supprimé les dates, lieux, natures d’activité ; certains se retrouvent avec des éoliennes derrière chez eux sans jamais en avoir entendu parler. Lors des plaintes, les promoteurs sont juge et partie, seules leurs conclusions sont retenues. La notion de conflit d’intérêts disparaît, les directives régionales sont piétinées, les lois faites sur mesure pour faciliter l’invasion…
Nous sommes dépossédés de notre territoire, sans droit à la parole, sans droit de nous défendre, la proie de lobbies qui manipulent le pouvoir. On nous accuse de « retarder la transition énergétique » avec nos vaines rébellions ; retarder, c’est tout, on se défend, mais on se fait quand même dévorer ! La démocratie est bafouée.
Ceux qui pleurent à cause du bruit, des acouphènes, du cœur qui s’emballe au rythme des pales osent rarement témoigner. Ils ont honte, ce ne serait pas politiquement correct, il faut accepter de souffrir pour « le bien de la planète ». On n’a pas le droit d’avouer que quelque chose cloche dans ce qui est présenté comme la seule issue. Ils ont peur, aussi. Alors que l’électrosensibilité peine à se faire reconnaître, on se gausse de la sensibilité aux infrasons, trop méconnue, qu’on fait passer pour une maladie psychique.
On assiste à un parfait écocide, discret, se cachant sous de pseudo « bonnes intentions »
« Les opposants retardent la transition énergétique. » Mais qui se penche sur nos vies brisées, nos investissements et nos projets tués ? Les vergers que nous ne plantons plus, la maison devenue invivable et invendable, nos promenades quotidiennes, les circuits de randonnée, le panorama d’une ville touristique… L’âme de nos campagnes, notre silence, notre sommeil, notre santé, notre capacité de concentration et celle des enfants des écoles, notre efficacité au travail, les étoiles, le noir de la nuit, nos forêts, nos prairies, la liberté des vaches, le relief, écrasé, ce qu’on n’a plus la force de faire. Tout est tué brutalement ou à petit feu.
Et les ressources ! Que de pétrole pour nourrir avec l’ensilage et l’enrubanné de l’an dernier des vaches qui il y a peu broutaient dehors, là où on cultive le maïs qu’elles ingurgiteront l’an prochain ; pour ériger ces monstres blancs trois fois plus hauts que nos collines, qui, ici, ne fonctionnent qu’à 18 % de leur capacité, de façon intermittente et aléatoire ; pour couper, transporter, déchiqueter nos trop jeunes arbres, cultiver le maïs et le colza. Pour fuir ! Que de sols détruits ! Nous sommes assez près de notre terre pour constater au quotidien cette tromperie que les citadins ne voient pas !
Si au moins tout cela servait à autre chose qu’engraisser sur nos deniers des lobbies et ceux qui leur ouvrent grand les portes. Nous sommes sacrifiés sur l’autel d’une idéologie capitaliste qui veut vendre les engins nécessaires à son accomplissement. Jamais nous n’avons vu autant de machines, entendu autant de moteurs dans nos campagnes, nos forêts, planer sur nos têtes… La « croissance verte » tue l’idée de décroissance, autant que nos territoires, pour justifier ses objectifs.
On assiste à un parfait écocide, discret, se cachant sous de pseudo « bonnes intentions », ou pire, sous une injonction de « sauver la planète ». Mais on s’est trompé de ministère, la production d’énergie pour le confort humain, ce n’est jamais de l’écologie, c’est de l’industrie !
Comme chaque fois que le vent vient du nord-ouest, ma maison vrombit plus que les autres jours. Mon corps ne sait où aller, je pleure. Dans quelques mois, le vent d’est sera lui aussi un poison. Arrêtez la torture ! Laissez-nous vivre ! VIVRE !
Cordialement
Jean-Louis Butré
Président
Fédération Environnement Durable
http://environnementdurable.net
contact@environnementdurable.net
tel 06 80 99 38 08
17 ???? éoliennes prévues dans ces 4 communes :
Laigny , Voulpaix, Haution, la vallée au Blé
Suite au renseignement pris, il est mathématiquement impossible de poser les 17 éoliennes dont certaines se chevaucheraient
Il y à bien 2 projets en cour, mais l'ancien projet accordé en 2013 qui est en court de procédure judiciaire n'a pas été retiré ce qui semble autorisé par la loi, la procédure n'étant pas finie.
Attention deux enquétes sont menées une par la société
:EOLIENNES DE LA VALLEE
Pour 7 éoliennes
Voir ci dessous
Possibilité d'agrandir en faisant Ctrl + roulette
ou un clic sur l'image l'ouvre sur une autre page et re-cliquer pour agrandir
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Et une par la sociéte VALOREM
Pour 10 ? éoliénnes
voir ci dessous
L'Union du 9 août 2019 : " Ils en ont marre des éoliennes "
Posted: 10 Aug 2019 07:36 AM PDT
Voici la comparaison entre
la capacité installée et la
production réelle d'énergie
éolienne quotidienne en
Europe.
Pendant les mois de juin, juillet, août et septembre 2018, la production moyenne était de 20 GW et la capacité installée de 178 GW.
Vraiment ridicule.
